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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
alligraphe ait espacé davantage les mots, afin de faire arriver jusqu’ au bas de la page ce qui lui restait à copier. Il a même la
it les variantes écrites de sa main, il s’aperçut de son omission, et au bas de la page 3, sur laquelle commençait le livre I, il
ire connaître ce qu’il était. Dans une note manuscrite par lui placée au bas de la troisième page de l’exemplaire de la veuve Bro
ommence au premier tiers du recto du feuillet 19 et qui s’étend jusqu’ au bas du recto du feuillet 20. Les mots, quoique grecs, so
rose italienne des Fables de Phèdre et de celles restituées par Gude. Au bas de la page 148 on lit : Parma ; Per i fratelli Gozzi
are, succurrendum opinioni eorum et consulendum fore existimavi, etc. Au bas de la même page on lit : Explicit prologus. Incipi
m. Etsi te studio grammaticæ artis inductum , etc. L’œuvre se termine au bas du recto du feuillet clxxxviii par la souscription
85 à 187, le petit poème en 25 vers intitulé Est et non et notamment, au bas de la page 185, une note dans laquelle l’éditeur, do
De Ponderibus et Mensuris , édité d’après un manuscrit de Vienne, et, au bas de la page 27, la note dans laquelle l’éditeur indiq
petit poème en 17 vers commençant par les mots Bis sena mensum , et, au bas de la même page, la note de l’éditeur qui expose que
petit poème de Sphera cœli, commençant à la page 380 du même volume, au bas de laquelle on lit en note : « Primus ex P(arisino 1
Incipit liber Ysopi et l’épigraphe Magistro Rufo Æsopus salutem sont au bas du feuillet 60 b. Les fables sont divisées en 5 livr
Expliciunt aesopi fabularum libri numero quinque. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en lettres semblables écrites avec
elui-ci : Scholia in canticum canticorum. Ces scholies se terminent au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a ét
nature de certains animaux qui s’achève au fol. 108 b. Fol. 108 b. —  Au bas de la page le traité De Monstris est annoncé par cet
um. Fol. 109 b à 110 a. — Table des chapitres au nombre de 57, qui, au bas du fol. 110 a, est suivie de cette souscription en l
0 b à 115 b. — Ces feuillets sont remplis par les 57 chapitres, clos, au bas du feuillet 115 b, par cette souscription à l’encre
ête du verso du premier feuillet et se terminent au verso du sixième, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commen
ef, M. Lefebvre de Behaine eut la complaisance de mettre sa signature au bas du bulletin. Seulement il fut entendu que je rapport
onnelles. Je rappelle que, dans ma première édition, je les ai notées au bas du texte du Romulus ordinaire édité d’après la copie
us de celle du Juif et de l’Échanson de Walther. Immédiatement après, au bas du feuillet 34 b, on lit la souscription suivante :
k, m, n, o, p, q, et les quatre premiers feuillets de chaque cahier, au bas du recto, portent, indépendamment de la lettre d’ord
ent le commencement de l’ouvrage lui-même : Incipit pars executiua. Au bas du recto du dernier feuillet on lit : Explicit spec
and nombre de gravures sur bois appropriées aux fables. Il se termine au bas du feuillet 82 a par la souscription suivante : Exp
r aplasibles exemptos. Les fables qui viennent après, se terminent au bas du recto du dernier feuillet par cette souscription 
xempeln Doctors S. Brant… mit schönen figuren , etc. Ce titre, placé au bas de la page, est surmonté d’une gravure sur bois, qui
dites Gesamlete fabeln. Pages 391 et suivantes. — Table des matières. Au bas du recto du dernier feuillet on lit : Gedruckt zu F
u-dessous est une gravure qui représente Ésope revenant du marché, et au bas de la page le lieu et la date sont indiqués en ces t
e de ce fabuliste commence sur le recto du deuxième feuillet et finit au bas du recto du dix-neuvième. L’édition porte le titre s
ol des Fabulæ collectæ, qui, seulement au nombre de 22, sont arrêtées au bas de la dernière page par cette mention : Aqui se aca
o et clarissi-|mo fabulador ysopo hy-|storiado et annotado. | 1526. Au bas du recto du feuillet 80 et dernier est cette souscri
de laquelle figure la maxime suivante : Res parva crescunt concordia. Au bas de la page on lit : Vendense en Enueres por Juan |
-|bulador Ysopo : hystoriado y ano-|tado. Impresso an̄o M. D. lxij. Au bas du dernier feuillet on lit : Impresso en Seuilla en
de nuevo corregido, y emendado, con las anotaciones en les margenes… Au bas du frontispice : Año 1728, Con Licencia. En Madrid 
oir historial commencent en tête du recto du folio 38 et se terminent au bas du recto du folio 41. Elles sont au nombre de 29. El
se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne : Cy finist le xve liure du
se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne : Cy finist le vingt et deuz
se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la deuxième colonne : A l’honneur et louenge De
lu||me de Vincent Miroir || hystorial nouuellement imprime a Paris. Au bas du frontispice, dans les exemplaires destinés à J. P
scribe étant du même auteur, commence, sans intervalle et sans titre, au bas de la même page et finit au recto du feuillet suivan
r. Les fables commencent en tête du recto du feuillet 73 et finissent au bas du verso du feuillet 96 ; chacune d’elles est accomp
qu’il avait reçue à Naples et qui signifie soit 141, soit C. 41, et, au bas du feuillet 16 vº, la signature Duca di Amerfe , qu
no vivat. Iste liber est . . . . . . . . . Nutriti Ucecie. Toutefois au bas du fol. 54 a on lit : Tanguidus Nutriti de Ucecia.
de Saint-Germain des Prés, ainsi qu’il résulte de cette mention mise au bas du recto du premier feuillet : Sancti Germani in pr
in paraît être de la fin du xiiie  siècle. Il comprend 177 feuillets. Au bas du recto du premier feuillet on lit : Iste liber es
établit bien que le manuscrit a appartenu à l’abbaye de Saint-Victor. Au bas du feuillet 176 s’en trouve une autre, qui, en montr
alyser. Elles se terminent au fol. 90 b par le mot Explicit . Enfin, au bas de la même page, se lit cette observation qui ne tir
les, dont chacune a le sien écrit à l’encre rouge. Elles se terminent au bas du recto du vingtième feuillet. À la suite de la der
rennent que 60 fables, et sont précédées de ces deux distiques écrits au bas du feuillet 171 a. Jucundos flores fructus editque
sé en blanc par le copiste. Mais à la fin des fables qui se terminent au bas du recto du feuillet 18, il a écrit : Explicit Esop
tête de la première page :       Adsit principio virgo beata bono ! Au bas de la première page se lit cette espèce d’hexamètre
euillet 98 a et finissent au feuillet 118 b. Le titre qui a été écrit au bas du feuillet 97 b, est ainsi conçu : Incipit liber q
e la dédicace à son fils, commencent au feuillet i a et sont terminés au bas du feuillet xi b par cet hexamètre usuel : Finito l
ouvrages en prose et en vers et notamment les fables de Walther, qui, au bas de la 2e colonne de la page 200, sont annoncées en c
res, attribue leur texte latin à l’empereur romain du nom de Romulus. Au bas du feuillet 138 a on lit ces deux vers rythmiques :
L’écriture qui est la ronde italienne du xve  siècle est fort belle. Au bas du recto du premier feuillet on lit : Collegii Soc.
ables de Walther, qui, partant du milieu du feuillet 30 b, s’achèvent au bas du feuillet 52 b. Elles sont annoncées par ces mots
tres, commence, sans titre, au haut du feuillet 1 a, mais se termine, au bas du feuillet 6 a, par cette souscription qui révèle c
Lupo. Elles sont revêtues de titres à l’encre rouge et se terminent au bas du verso du feuillet 76 par cette souscription : Ex
ies d’un Commentaire latin qui, commençant au feuillet 19 b, s’achève au bas du feuillet 35 a (ff. 79 vº à 95 rº, d’après le numé
e du verso du premier feuillet se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du dernier on lit : Esopus fabulator precl
muns à la plupart des petites éditions classiques. Elles se terminent au bas du feuillet 44 a, sans indication de lieu ni de nom
précédente due au même éditeur. Au-dessous du titre est une gravure, au bas de laquelle on lit J. Le Forestier . La souscriptio
uscription suivante : Æsopi fabulae per Salonem Parmensem finiunt. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit : Impre
e l’extrait de la lettre de Thadée Ugoleto. L’avant-dernier feuillet, au bas du recto, porte la souscription suivante : Impressu
De Puero suspenso, De Coco et Cane cor rapiente, De Avibus et Pavone. Au bas du recto du dernier feuillet, on lit : Parmae || Ap
e Coco et Cane cor rapiente ; de Avibus et Pavone. Elles se terminent au bas du feuillet 40 a et sont suivies d’une table des mat
les deux premiers renferment la table et les deux autres sont blancs. Au bas de la première page de la table se trouve cet ex-lib
one chon grande sollecitudine chauando , etc. Les fables se terminent au bas du recto du feuillet 59 par cette souscription : Fi
souvent est intercalée entre le texte latin et le Sonetto materiale. Au bas du recto du feuillet p 3 se trouve cette souscriptio
de beaucoup supérieur à celui des gravures des incunables allemands. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet est cette sousc
vures sur bois encadrées, pareilles à celles de l’édition précédente. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit : Impre
r bois et suivie des deux sonnets italiens qui en sont la traduction. Au bas de la seconde colonne de la table qui occupe le vers
’une gravure et suivies chacune des deux sonnets qui la paraphrasent. Au bas du verso du feuillet antépénultième (i, vi) on lit :
drées semblables à celles des éditions précédentes du même imprimeur. Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit : Stamp
cho. Au-dessus de ce titre une vignette représente la figure d’Ésope. Au bas de la page on lit : In Venetia. Le verso du premie
feuillets. Elles commencent au haut du recto du folio 31 et finissent au bas du verso du folio 32. Je ne connais pas d’autre manu
mencement de l’épilogue qui les suit sont indiqués dans le manuscrit, au bas de la 2e col. du feuillet 183 b, par cette phrase éc
font défaut, et le même épilogue clôt la collection. Elles commencent au bas du feuillet 1 b, que décore une superbe miniature, e
u président de Thou ; c’est ce qui ressort de la mention suivante, qu’ au bas du recto du premier feuillet il avait sans doute mis
de l’origine de la langue et poésie françoise. Voyez ce qu’il a écrit au bas de la première page de ce manuscrit. Les notes margi
rie de France, sont le plus rapprochées de celles qui ont prévalu. » Au bas du recto du deuxième feuillet ajouté, le président F
s legauit. An. M. D CC. XXXII. » Il semble résulter d’un numéro placé au bas du recto du premier feuillet qu’il avait d’abord por
que un feuillet, et c’est aux fables qu’il appartenait. Cette lacune, au bas du recto du feuillet 89, a été indiquée en ces terme
olonne du feuillet 55 b et qui se terminent par l’épilogue en 22 vers au bas de la première colonne du feuillet 80 b. L’écriture,
, dans mon tableau, portent les nos 12, 25, 42 à 44, 51, et 99 à 103. Au bas de la fable lxxxix, qui dans le manuscrit est la qua
vants : 22, 24 à 25, 46 à 48, 57 à 65 et 72 à 103. Elles se terminent au bas de la première colonne du feuillet 49 a par cette so
noms d’un moine et qu’un propriétaire plus récent a fait disparaître. Au bas de la même colonne, contrairement à l’indication de
mi lesquelles les fables de Marie occupent les feuillets 29 a à 45 b. Au bas du feuillet 28 b, elles sont annoncées par ce titre
pparent, les vingt-deux fables du Dérivé du Romulus anglo-latin, qui, au bas de la première colonne du feuillet 194 b (en réalité
. Ces seize fables sont suivies de ces deux ineptes distiques placés au bas du feuillet 56 b : Quem semel horrendis maculis in
in a ajouté : Nunc autem Nicolao Luysth presbitero Treverensi. Enfin au bas du recto du premier feuillet l’indication des deux d
ais les fables y sont pourvues de titres particuliers et se terminent au bas d’ une page par cette souscription : Explicit liber
surmontée de ce titre : Incipit Registrum fabularum Auiani , et qui, au bas de la deuxième colonne du feuillet 37 a, se termine
duire feraient d’ailleurs double emploi ; car, dans les notes placées au bas du texte, ils trouveront relevées une à une toutes l
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